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2 Ahadith auf französisch gesucht


Latif

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#bismillah#

#salam#

 

Hadith Thaqalayn:

 

Spoiler:
hadith al-thaqalayn

 

«je suis sur le point d'être rappelé [par allah] et de répondre [à ce rappel]. je vous laisse les thaqalayn [les deux poids] : le livre d'allah et ma famille, les gens de ma maison. celui qui est doux [allah] m'a informé qu'ils ne se sépareront pas jusqu'à ce qu'ils reviennent vers moi près du bassin [jusqu'au jour du jugement]. regardez donc bien comment vous les traiterez après moi.»

 

(87)

 

selon al-chibrâwî al-châfi'î, dans son livre "al-at-hâf bi-hobb al-achrâf": «muslim, al-tirmithî... et al-hâkim... ont rapporté ce témoignage de zayd ibn al-arqam : "un jour, le messager d'allah a prononcé un discours au milieu de nous. après avoir loué et remercié allah, il a dit : "o gens ! je suis un être humain. bientôt, un messager de mon seigneur viendra, et je répondrai. je vous laisse les [deux] thaqalayn : le premier est le livre d'allah, dans lequel il y a la bonne orientation et la lumière. prenez donc le livre d'allah et attachez-vous y fermement !" et il ajouta : "et les gens de ma maison. je vous rappelle allah par les gens de ma maison !"»

 

(88)(64)

 

toujours selon al-chibrâwî :

 

«et selon une autre version "je vous laisse deux choses: si vous les suivez, vous ne serez jamais égarés. ce sont le livre d'allah et les gens de ma maison [selon un autre récit : "ils ne se sépareront pas jusqu'à ce qu'ils viennent vers moi près du bassin. regardez donc bien comment vous les traiterez après moi"]."»

 

(89)

 

al-chibrâwî a écrit également:

 

«ibn hajar a dit, dans "al-Çawâ'iq" : "le prophète a dénommé "thaqalayn" le coran et sa famille, car le "thaqal" est toute chose de première importance et envers laquelle on a beaucoup de gratitude. or, ces deux-là le sont aussi, car chacun d'eux est le "métal" [la substance même, l'essence] des sciences religieuses et des secrets rationnels légaux. c'est pourquoi il a incité à suivre leur exemple. on dit aussi qu'ils ont été appelés "al-thaqalayn" à cause de l'obligation de respecter leurs droits. et puis, celui des deux sur lequel l'accent a été mis représente ceux qui connaissent le livre d'allah et qui sont très attachés à la sunnah de son messager, car ce sont eux qui ne se séparent pas du livre jusqu'au bassin"»

 

(90)

 

al-'allâmah al-chaykh muhammad jawâd al-balâghî a écrit, dans son tafsîr "alâ' al-rahmân fî tafsîr al-qur'ân":

 

«... ainsi que ce hadith al-thaqalayn, qui est un hadith concordant et absolument sain, rapporté par nos frères de rites sunnites dans leurs recueils en attribuant sa source aux compagnons qui l'avaient entendu de la bouche de prophète : "je vous laisse les thaqalayn, ou les khalifatayn [les deux successeurs] : le livre d'allah et ma famille, les gens de ma maison. tant que vous vous y attacherez, vous ne serez jamais égarés. car ils ne se sépareront pas jusqu'à ce qu'ils viennent vers moi auprès du bassin."»

 

(91)

 

voici les noms des compagnons qui entendirent ce hadith de la bouche du messager d'allah:

 

1- 'alî, amîr al-mu'minîn

 

2- 'abdullâh ibn 'abbâs

 

3- abû tharr al-ghifârî

 

4- jâbir al-ançârî

 

5- 'abdullâh ibn 'umar

 

6- huthayfah ibn 'usayd

 

7- zayd ibn al-arqam

 

8- 'abdur-rahmân ibn 'awf

 

9- dhomayrah al-aslamî

 

10- 'açim ibn laylî

 

11- abû râfi'

 

12- abû hurayrah

 

13- 'abdullâh ibn hantab

 

14- zayd ibn thâbit

 

15- umm salma

 

16- umm hânî [la soeur d'amîr al-mu'minîn 'alî]

 

17- khozaymah ibn thâbit

 

18- sahl ibn sa'd

 

19- 'adî ibn hâtam

 

20- 'uqbah ibn 'amer

 

21- abû ayyûb al-ançârî

 

22- abû sa'îd al-khidrî

 

23- abû charîh al-khizâ'î

 

24- abû qodâmah al-ançârî

 

25- abû laylâ

 

26- abû haytham ibn al-tayhân

 

chacun des dix derniers personnages mentionnés ci-dessus (à partir du n° 17) a, individuellement et comme les précédents, rapporté ce hadith, avant de se réunir sur la grand-place de kûfâ, avec sept personnes de quraych, pour témoigner ensemble qu'ils avaient tous entendu ce hadith de la bouche du prophète ; ce qui porte donc à trente-trois (vingt-six plus sept) le nombre de personnes ayant déclaré avoir entendu prononcer ce hadith.

 

ce hadith est également mentionné par abû no'aym al-içfahânî, dans "manqabat al-mutah-harîn", d'après la chaîne de jubayr ibn mat'am et celle d'al-barâ' ibn 'azib. il est aussi relaté par mawaffaq ibn ahmad (le plus célèbre tribun de khawârizm, citant 'amr ibn al-'aç. il est rare qu'un musnad

 

(92) ou un jâmi'

 

(93) ou un livre d'hagiographie sunnite ne mentionne pas ce hadith, et ce depuis qu'il a été transmis de la mémoire des mémorisateurs aux Çuhûf (journaux) des traditionnistes, dans lesquels il est rapporté d'un compagnon ou plus, et parfois de plus de vingt compagnons, soit brièvement -comme dans "al-Çawâ'iq", ou accompagné des chaînes détaillées de transmetteurs, comme dans les oeuvres d'al-sakhâwî, d'al-Çiyûtî, d'al-samhûdî et de bien d'autres.

 

toujours selon al-balâghî :

 

«les imamites [les chi'ites] l'ont aussi relaté dans leurs livres, en mentionnant leurs chaînes de transmetteurs concordantes, remontant à al-bâqir

 

(94), al-redhâ

 

(95), al-kâdhim

 

(96)et al-Çâdiq

 

(97), qui citaient leurs pères citant le messager d'allah, ainsi que d'autres chaînes remontant à amîr al-mu'minîn ['alî ibn abî tâlib], 'umar, ubay ibn jâbir, abû sa'îd, zayd ibn al-arqam, zayd ibn thâbit, huthayfah ibn 'usayd, abû hurayrah et bien d'autres, citant le messager d'allah

 

(98)

 

d'après al-'allâmah al-fairûzabâdî, le hadith de thaqalayn a été relaté par : muslim dans son "Çahîh", ahmad ibn hanbal dans son "Çahîh" (tome iv, p. 366), al-bahayqî dans ses "sunan" (tome ii, p. 148 et tome vii, p.30) al-darâmî dans ses "sunan" (tome ii, p. 45 et tome vii p. 102), al-tahâwî dans "muchkil al-athâr" (tome iv, p. 368), al-tirmithî dans son "Çahîh"tome ii, p. 308), ibn al-athîr al-jazarî dans "asad al-ghâbah" (tomeii, p. 12), al-Çiyûtî dans "al-dur al-manthûr" en marge du tafsîr (exégèse) du verset d'al-mawaddah (sourate al-chûrâ). il est égalementrelaté dans "mustadrak al-Çahîhayn" (tome iii, p. 109). l'a relatéégalement al-nisâ'î (ou nasâ'î) dans ses "khaçâ'iç" (p. 21), et dans"mustadrak al-Çahîhayn" (tome iii, p. 148), ainsi que dans "musnadahmad ibn hanbal" (tome iii, p. 17) où il est rapporté du prophète par abû sa'îd al-khidrî :

 

«je suis sur le point d'être rappelé et de répondre [à ce rappel]; je vous laisse les thaqalayn : le livre d'allah - il est puissant et glorifié- et ma famille. le livre d'allah, une corde tendue du ciel à la terre, et ma famille, les gens de ma maison. celui qui est doux m'a informé qu'ils ne se sépareront pas jusqu'à ce qu'ils reviennent vers moi auprès du bassin. regardez donc bien comment vous vous comporterez avec eux après moi.»

 

ce hadith est relaté aussi par ahmad ibn hanbal dans son "musnad" (tome iv, p. 371 et tome v, p. 181), abû no'aym dans "hulyat al-awliyâ'" (tome i, p. 355), et "kanz al-'ummâl" (tome i, p. 96), al-haythamî dans son "majma'" (tome ix, p. 64 et tome ix, p. 163) et dans "al-Çawâ'iq al-muhriqah" d'ibn hajar (p. 75).

 

(99)

 

il y a donc concordance des sources concernant aussi bien la signification que les termes de ce hadith qui associe les ahl-ul-bayt au livre d'allah. cela constitue, également, une preuve incontestable pour les musulmans de l'obligation de considérer les ahl-ul-bayt comme leur référence après le saint coran, et comme les gardiens du livre d'allah, jusqu'au jour du jugement.

Quelle: http://www.saffinatulnajat.org/HP.htm

 

Das Donnerstagsunglück:

 

Spoiler:
" le Jeudi noir" rapporté dans de nombreuses sources sunnites comme suit:

 

En effet, cet évènement est le jour où Mohammed(sws) se sentant mourrant a voulu rédiger son testament,

 

Ibn Abbâs a dit : « Quand les souffrances du Prophète devinrent plus vives, il s'écrira : « Qu'on

m'apporte de quoi écrire afin que je vous mette par écrit ce qui vous préservera de l'erreur après

moi ! – 'Umar dit alors :l'homme [le Prophète] est en train de délirer ; nous avons le Livre de Dieu qui nous suffit. »

Les avis à ce moment furent partagés et la discussion devint bruyante. « Retirez-vous, laissez-moi, reprit

alors le Prophète, il ne convient pas qu'on se dispute en ma présence ! » Ibn Abbâs sortit en disant :

« C'est mal, aussi mal que possible, de faire obstacle au Prophète quand il désire écrire. »

[Extrait de « Les Traditions Islamiques -Tome 1» (El Bokhâri; Titre : «De la science» ; Chapitre XXXIX : «De la mise

par écrit de la tradition»; hadith n°4 ; (page 56)]

 

D'après Sa'îd ben Djobaïr, Ibn Abbâs dit : «Le jeudi, ah ! Ce qu'est le jeudi !» et il se mit à pleurer si fort, que ses larmes mouillaient les cailloux du sol."

 

Selon Ibn Abbâs cité par Çahîh Muslim, lorsque le Saint prophète agonisait sur son lit de mort, `Omar Ibn al-Khattâb et d'autres Compagnons étaient présents. Le Saint Prophète demanda : «Apportez-moi du papier et de l'encre pour que je vous écrive quelque chose (comme testament) grâce auquel vous ne serez pas égarés après moi.». `Omar Ibn al-Khattâb s'opposa à la demande du Prophète et dit : «Le Prophète divague. Nous avons le Saint Coran, et ceci nous suffit largement». Sur ce, une dispute éclata entre les Compagnons présents. Les uns disaient : «Il est obligatoire d'obéir aux ordres du Prophète et de le laisser écrire ce qu'il veut écrire à notre intention».

 

D'autres approuvèrent `Omar dans son objection. Lorsque la dispute s'envenima, le Saint Prophète outré, s'écria : «Allez-vous-en». Ibn `Abbâs dit à ce propos: «C'était une vraie tragédie et un désastre que le Prophète n'ait pas pu écrire ce qu'il voulait écrire, à cause de la dispute et des dissensions entre les gens présents auprès de lui».

 

 

`Abdullah Ibn Abbâs, cité par Sa`îd Ibn Jubayr dans "Çahîh al-Bukhârî" dit à propos de cet incident : «Quelle journée calamiteuse était ce jeudi-là !». Et d'ajouter: «Lorsque ce jeudi l'état de santé du Saint Prophète s'aggrava sérieusement, il demanda qu'on lui apportât du papier et un stylo (de l'encre) pour écrire quelque chose grâce auquel les gens éviteraient de s'égarer après lui, les Compagnons présents se mirent à se disputer à ce propos. Le Messager d'Allah leur fit remarquer qu'il était inconvenable de se quereller devant le Prophète. D'aucuns, répondirent : «Le Prophète délire !». Le Prophète s'écria alors : «Allez-vous-en.J'ai raison quelle que soit la condition dans laquelle je me trouve, et tout ce que vous dites est faux. Laissez-moi seul. Allez-vous-en». Après quoi le Saint Prophète exprima ses trois volontés : 1- chasser tous les mécréants de la Péninsule Arabe; 2- entretenir les délégations venues de loin. Mais le narrateur ne mentionna pas la troisième volonté, ou l'oublia».

 

Sa`îd Ibn Jubayr rapporte, dans "Musnad Ahmad Ibn Hanbal" et "Çahîh Muslim" ce témoignage de `Abdullâh Ibn Abbâs : «Quelle journée que celle de Jeudi ! (Il se mit à pleurer tellement en évoquant cette journée que ses larmes coulaient sur ses joues comme un fil de perles). Puis, il expliqua que le Jeudi en question était le jour où le Saint prophète avait demandé : «Apportez-moi de quoi écrire quelque chose grâce auquel vous ne vous égarerez jamais après moi». Mais hélas! Les gens dirent : «Il délire».

 

Chahâb al-Dîn al-Khafâjî écrit dans "Nasîm al-Riyâdh" que selon la même version de ce hadith, c'est `Omar Ibn al-Khattâb qui dit : «Le prophète délire».

Al-Chahristânî écrit pour sa part, dans son livre" al-Milal wa-l-Nihal"que la première dispute ou le premier différend qui avait éclaté entre les musulmans lors de la maladie du Prophète (P) est celui que Mohammad Ismâ`îl al-Bukhârî rapporta de `Abdullâh Ibn Abbâs dans son livre "Çahîh al-Bukhârî" et selon lequel, lorsque la maladie mortelle du Prophète s'aggrava, il (le Prophète) dit: «Apportez-moi de l'encre et du papier afin que je vous écrive un document (testament) de crainte que vous ne soyez égarés après moi». Entendant cela, `Omar dit : «Le Prophète parle ainsi, à cause de la gravité de sa maladie. Le livre d'Allah nous suffit».

 

Lorsqu'une querelle s'ensuivit, le prophète dit : «Allez-vous-en et ne vous disputez pas devant moi». C'est là, la raison pour laquelle `Abdullah Ibn Abbâs dira souvent : «Quelle calamité que cette dispute-là ! Elle fut l'obstacle entre nous et l'écrit du Prophète, et empêcha celui-ci d'écrire».

Al-`Allâmah Chiblî al-No`mânî écrit : «Il y a le mot "Hajr"dans ce hadith et il signifie "Délire". `Omar interpréta la demande du Saint Prophète comme un "délire" ("Al Fârûq", p. 61). Nathîr Ahmad Dehla

Quelle: http://fr.answers.yahoo.com/question/index...29223433AAMrG1e

 

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